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Blog de Lucie Santos

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I can get satisfaction

Le 04/09/2019

Toutes les lumières sont belles. Ainsi, toutes les lumières oniriques valent le coup pour qu’on s’y abandonne. Et chacun de nous a ses astres et ses arcs-en-ciel. Il y a des lumières routinières, un bon vieux cumulus, une chape de plomb qui se charge de contenir les forces d’un étincelant Apollon. Les larmes d’émotion d’un si doux poète porté en croix par autant d’adeptes que d’ennemis , à travers les rayons dissipés qui balayent les feuilles et les brins d’herbe dans un sens ou dans l’autre. Puisque tout cela vit encore, (entre autres) je voudrais qu’on gagne le combat. Je n’imagine pas troubler les cyniques mais j’exige que certains de mes lecteurs décident de s’occuper d’un potager. Donner envie d’écrire au gouvernement, oh de oh de méditer, oh, méditer, trouver sa méditation, Voltaire avait tout compris. Je l’aime, moi Voltaire, même s’il a fait des misères à Pascal. C’était tellement con ce truc quand j’y pense. Enfin il déconnait, j’imagine.

Comment le cœur qui s’oppresse gagne du terrain en liberté, comme il gagne en fierté, comme il reste en mouvement, comme il s’assouplit. Comme ce prisme du chaos revient à son unique fonction, sans colère, sans charge et sans fascination, sans tentation. J’en dis beaucoup mais c’est de bonne guerre. La façon de croire ce qui est bon pour moi, le respect de ce qui est bon pour les autres. Mais croire pleinement. Oh de oh de l’humour ! L’humour est la paroi de l’abîme que crée le désarroi la la la. Connaître la plénitude et la perdre, de quoi tout recommencer.

Ma prochaine plénitude sera chargée de mes nouvelles émotions, elle sera à la fois la même et à la foi une autre. Je suis heureuse en ce moment. Je fais au mieux. Selon mes idées, quoi. La plénitude comble les manques créés par l’existence, je me donne le droit de penser que je vis pleinement, que mes intentions sont bonnes, que j’ai raison de ne pas m’en faire, et quoi qu’il advienne. Je me surprends, là, quand même. Mais je vous assure que je me suis mise à aimer travailler.

 

Poème

Le 04/09/2019

(Extrait d’une chanson) Le chemin

Sur le chemin, plus avancés que le permet le même chemin

Le temps de faire le tour

Patiemment, c’est l’Amour

Le fils du rocher

Attend, le visage ombragé

La peur d’être fouetté aux joues par le vent

Pourrait l’aveugler de tout mouvement.

Et c’est ainsi, jalousant le premier venu, qu’on fait taire son cœur

Pourtant ingénu

Je ne connais pas mon voyage intérieur, mais je connais par cœur la magie de mes rires

Je n’ai pas d’empire et respire les horreurs

De celles qui étranglent les cris par un leurre. Miser sur les cartes prochaines est vain, nous enchaîne. Si quelqu’un doit trinquer ce sera moi, et je ne souhaite personne dans mes pas.

Il est magnifique d’être en haut du chêne, tant que ne s’immisce pas la gêne

Et que l’idée de fouler le sol

Devienne une affaire de parole

Se voir perché, magnifique. Le rester, problématique.

Le vertige peut prendre n’importe quand. Au point qu’il soit justifié.

Je ne me bats plus contre la fumée, et fantômes et farfadets ont pris le chemin tout tracé

De l’extérieur à mon estime et à mon malheur.

La tentation d’Oscar est chevillée à mon désir, et je plonge dans les lagons pour qu’à la surface on respire.

Ma dépendance est celle de mes erreurs, le chemin de Sisyphe est mille fois prometteur.

 

Le muscle

Le 04/09/2019

Le muscle, c’est la volonté. Avant d’exister, on ne le sent pas vraiment. Avant qu’il ne m’apporte satisfaction, j’échoue mille fois avec, l’effort durant, plus ou moins de plaisir. Ce n’est pas seulement ce à quoi on peut penser. Le muscle, c’est la bite de Freud, oui madame. Le muscle, c’est la mémoire que je ne sollicite pas assez, ce qui est un bon début. Le muscle, c’est le bonheur, oui Monsieur. Le muscle, c’est la bonté, c’est l’Esprit, la liberté d’expression, la liberté spirituelle. C’est l’imaginaire. Le muscle s’oppose au mal. Le muscle ne doit pas être violenté, il risque de souffrir. La routine même peut être absorbée par le muscle de l’amitié, qui est terriblement précieux. L’exercice d’aimer est le plus délicat. On se surprend à créer après saturation, et croire est l’entraînement qui peut, à la rigueur, justifier qu’on prie ce qu’on ne connait pas et en faire tout un plat. Mais le muscle n’étrangle pas. Le muscle n’appuie pas sur la gâchette, le muscle n’active pas l’arme et n’enclenche pas les machines à tuer. Parce qu’à la gouverne, c’est une disposition d’esprit qui donne le « la », et qui fait s’étioler toute la belle machine, faite pour créer et transmette, la santé chevillée au cœur. C’est l’abîme qui fait agir la faiblesse, un désir magique, dans le sens « infantile », inefficace et nuisible pour la planète. C’est un refus ; terriblement égoïste, et à la fois un coup d’épée dans l’eau aveu d’échec quant au pourquoi de l’existence.

Le muscle est celui du beau félin qu’on assassine. Le muscle est celui des victimes à qui on en enlève le droit. IL mérite considération (Oooooh !) mais ne doit pas être abandonné par les plus responsables d’entre nous, sous prétexte de chagrin solitaire. L’inspiration est un muscle. Certains en ont diablement peur, de celui-là. La terre ne s’est pas arrêtée de tourner après Mozart. Foutus complexes.

 

Histoires 2

Le 28/04/2019

"Prenez-vous avec humour, soeur Thérèse." . Le curé lui a vraiment dit ça. "Tu n'auras jamais de sexualité autre que ta culpabilité infinie, chaque frisson se paiera par un supplice, et tu dois te marrer."
Enfin. Si vocation il y a... Musique. Elle a dit un truc marrant, excusez-la mais elle n'en revient pas. Tranquille le chat, elle chantait avec sa copine. "Marcia Baila" vous savez, les Rita : "Et c'est la mort qui t'a assassiné Marcia, c'est la mort, qui t'a enculéééééééé, ohoooo !"
Avouez qu'elle est bonne. Après c'est une question de lâcher prise, pour passer à autre chose et relancer le désir et son exécution. Les montagnes montent et les stalactites tombent. Un, deux. Deux, un. Zéro, ça ne m'a jamais réussi, les maths. Je nage. Au milieu. Je pense au mécontentement de Krisnamurti, c'est drôle. Ca accompagne. Parce qu'on reste des prédateurs, c'est logique. Il suffit juste de savoir de quoi on est prédateurs, et ça fait suite. Evidemment on ne se demande pas de "qui", sinon ce serait faire parler notre animalité de façon grossière, complètement total hors-politique, bestial. Mon mécontentement s'adresse à la solitude. Si j'ai un objectif, c'est celui de l'amitié. Quand j'ai un souci, j'essaie d'aller dans le sens de l'amitié parce que je sais que c'est pour moi la chose la plus utile au monde. J'ai ça profondément ancré en moi, même si mes amis sont peu nombreux et récents. J'ai vécu avec peu d'amis. Mais ce sont des gens qui m'ont profondément marquée. Je retrouve l'amitié dans les arts, avec beaucoup d'authenticité.

C'est très important ça : aligner son comportement vers une réaction politique. On ne se bat pas contre des gens, qui peuvent changer du jour au lendemain, mais à des idées enracinées là où elles gênent la circulation des bonnes énergies. Certes, il existe de gros cons sacrément solides, et dans ces cas-là il faut les considérer comme des personnes malades. Il faut s'attaquer à leurs maladies, quoi. Ce sont des gens qui manquent, en général, d'humour, de jeu, de divertissement, de sexe, de tendresse, de reconnaissance... Parfois d'admiration, parfois d'un bon coup de pied au cul, parfois d'une transformation de fond en comble. 
J'en ai assez. Je dois me mettre au végétarisme, j'y verrai plus clair. Ouais, demain.
Ah oui elle a dit une autre connerie, donc elle est très fière :
"Je dis "aime", comme un emblème, le coiffeur je le jette." Voilà, elle est en pleine créativité, en mode musique, elle apprend des nouveaux textes elle est heureuse. Viva la polka.

Univers bouclé par l'imaginaire, images, couleurs, les six sens en éveil, à la surface de l'eau on en apprend tous les jours, ça tombe bien on oublie. Ah ! Le stress. Le stress qui est une réaction électrique, un truc logique, c'est comme ça et pas autrement. J'ai oublié mon pare-buffle. Je suis dans la merde, j'ai oublié de faire le feu je vais me faire castagner par mon homme. Vieux réflexes. On a pas fini de commencer à se civiliser, Néandertal est où ? Taléou !

Du rêve, on veut du rêve, c'est la matière de la tendresse, c'est nous le rêve. Le rêve éveillé, l'unique. On a besoin de ça. On a besoin de boire, de se marrer. Philatélie.

Couscous. Yaaaaa... Le surréalisme sera le siècle de sera ne oui. J'ai envie de manger des pralines, mais c'est mauvais pour les dents, tu le sens tout de suite. C'est vrai que c'est quand même bon. Elle se met à perdre le contrôle la pauvre, elle sait plus ce qu'elle dit, qui parle, les démons de minuit.

Alors ici gros doute : je ne sais pas comment je vais faire pour enregistrer ce texte sur mon blog. Bouhouhou. Il faudra que je réécrive tout. Problème matériel. Ce n'est pas grave on s'éclate. Et on se rassemble, il a dit le vieux. Je ne sais pas ce que j'ai avec les grands chefs indiens. Je serais quand même sortie avec toutes sortes de gens moi. Je vais faire un guide Michelin. Hi, hi. 

Elle a acheté un très beau porte clé à 12 balles. Et voilà ça le fait. 

Bon, c'est tout ce qu'elle raconte ?
Allez laisse tomber.

 

Début

Le 26/04/2019

Et alors ? Le mec, il voulait me bouffer sauce Roquefort. Ca c'était sympa. Ca, ça j'ai apprécié. Mais alors avec des fioritures dans le miel, genre. Etoilé. Les morceaux de gelée royale qui font obstacle à la cuillère. Comment c'est bon. Ah nonn je crois que c'est juste du sucre aggloméré. Enfin c'est assez jouissif. 
Je commence à en avoir assez des gens qui se leurrent sur mon cas à cause de ce que je dis dans tel ou tel contexte. Je sais c'est facile à dire mais c'est aussi facile de se tromper à mon endroit, pour tout un tas de choses.
Donc non je ne suis pas raciste, je suis même plutôt tolérante et je m'interroge régulièrement quant à mon rapport aux autres. 
Une bulle, une bulle. Quoi ? Sur leur table basse il y a des photos de dauphins sous coke avec des militaires valeureux, c'est sensé nous dire "bonjour". Bleu électrique. Tout doucement, les bulles. Elle n'arrive toujours pas à lire, c'est toujours trop ou pas assez, il n'y a pas la mesure qu'elle cherche, mais malgré tout. Malgré tout elle a compris comment procédait la paresse. Donc elle explique.Une fatigue physique, une jeune confusion tenace, dues au fantasme de difficulté. Exemple : tout à l'heure, je ne me laissais pas vouloir peindre, parce que j'avais terriblement envie de réaliser mon "sous bois" en grand format. Mais seulement, j'ai toujours coincé dans ma tête qu'on ne fait pas deux fois la même oeuvre, et que j'allais certainement être déçue du résultat, et qu'ainsi j'allais travailler de façon pénible pour rien. Mais quand j'ai laissé cette idée apparaître en moi, j'ai pu corriger le tir et me dire que je pouvais faire avec, tout simplement. C'est vrai que j'ai demandé à l'au-delà d'arrêter de me bombarder de crises d'angoisse et de me dire ce qu'il n'y allait pas en toute simplicité. Il faut croire que cdela se met en place. Ceci dit, je n'ai pas pu aller peindre parce que j'étais déjà quasiment sur place et que j'avais oublié mon matériel chez moi. Bon. Donc j'ai bossé une chanson et j'ai mis quelques temps encore à me bouger les fesses parce qu'il existe plusieurs façons de l'interpréter et que j'avais peur de me planter. Quand j'ai appris la nouvelle, j'ai opté pour la version la plus simple. 
N'ayons pas peur de prier pour des choses dont on a l'impression qu'elles sont hors du possible ou du probable 
J'ai aussi appris à me libérer des petites angoisses, vous savez, les petites mesquineries du monde que l'on ignore encore, qui prennent l'importance de tout ce qui pourrait nous faire du mal. Et en réalité ce ne sont que des émotions. Dont on décide qu'elles ne dureront pas. Pas de ça chez moi hihi, enfin ce n'est pas la couleur que je rejette, mais la peur, de qui que ce soit. 
Les canards se font bouffer leurs oeufs par des oiseaux de lac dont j'ai perdu le nom. Je sais qu'il existe des documentaires sur la viande et comment elle est traitée avant qu'elle arrive dans nos assiettes, et que ces documents rendent végétarien. Je ne vais pas les regarder tout de suite parce que c'est trop contraignant.


Euh...


Bon j'y penserai, j'en parlerai à mon cheval, j'en parlerai à tous ceux concernés. Ce n'est pas un drame si tous mes soucis ne prennent pas fin aujourd'hui. 
Je commence à en avoir assez de ces histoires de karma. C'est bien gentil mais l'infini ça lasse. 
Ici delirium tremens.
Le lapin de Pâques était en agneau, l'agneau était cuit au buisson ardent, la vierge était franchement sulfureuse, Joseph n'avait aucun goût. 'était un Best Seller. Une fois sorti de sa tanière, le Petit Prince a disposé les couverts en quinconce, ce qui créa du concave, magnifique. Tout le monde est venu à la fête, on était habillés dans des couleurs pastelles au milieu d'une steppe brune et constellée de pierres brûlées. On dansait assez mal mais on était enthousiastes, les épaules ne bougeaient pas assez. Donc on a terminé la journée au lassi. Lassi à la mangue, lassi salé, lassi à la menthe, lassi à la rose ah qu'est-ce que c'est bon ça. J'ai froid.Au dessert j'ai évité de manger de la pintade, pour nos amies les bêtes. Le lama réincarné sentait le fauve, on l'a grillé. Le pauvre. Ca n'a pas résolu la question : quid de la bulle ? Non mais sérieux ? On ne peut pas avancer sans un vrai dialogue, moi je veux bien faire de la provoc mais il faudrait qu'on me réponde distinctement. J'ai horreur du one man show. Ah ! Le talent ! Partout tout-le-temps, le talent expressif des choses sensées. 
Le voile de la mariée a pris feu au niveau du genou. Moule frite. Hm; bon, et la loi de cause à effet dans l'inspiration de l'instant cueilli devant tout le monde parce qu'on ne peut pas faire autrement il faut s'ennuyer oui madame. 

Chercher, trouver. Et un et deux. Noué dénoué. Glacé fondu. Noir et blanc. Manger, manger. Bouhouhou j'ai faim en plus il y a des rillettes de poulet je crois...
Oui c'est ça. Dans trois quarts d'heure on mange. Excusez moi je suis désolée, ce n'est pas une question de mauvaise volonté mais quand j'ai faim chez moi le temps s'arrête. Ce n'est pas drôle. Ce n'est pas une tragédie non plus, ce sont les aléas de la vie, oh elle est belle la vie. Oh sincèrement.

 

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