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Blog de Lucie Santos

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loupiote

sans titre

Le 21/08/2023

Pedro, je me suis rendu compte que tu ne m'avais pas seulement quittée moi, ni seulement quitté ta famille, ni même seulement tous tes proches. Tu as quitté toute la planète, avec ses promesses et ses urgences. Alors qu'il tee restait un cœur, triste, certes mais il te restait un cœur à aimer et capable d'aimer, peut-être pas tout de suite, peut-être difficilement mais avec un peu de temps et de courage la situation pouvait encore largement être désamorcée. Je le sais et si je te pardonne, c'est que j'ai connu mes moments de misère et ce sentiment d'impuissance qui est revenu te hanter tant de fois, tu as décidé que ce serait la fois de trop... Mais tu as abandonné tant de poètes et de créateurs à inspirer, dont moi, tu as abandonné mille et une amours possibles, mille et une amitiés, un milliard de conversations, d'éclats de rire, de consolations...

Je fais donc la promesse, que tant que ma santé mentale et physique me le permettront, de vivre ce que j'ai à vivre en contre-exemple de ton geste, et en ta mémoire. Je suis pour l'euthanasie et pour l'avortement, parce qu'on fait bien d'élaguer les arbres. Mais qu'il me soit permis de ne jamais perdre la tête au point de trahir la vie dans son aspect le plus sacré.

 

 

Cruellement

Le 27/10/2022

Actualité morbide

Fatigues, batailles

Un intello qui a décidé d'être con

C'est pire que tout.

 

Ceci dit un savant idiot

c'est d'un autre ordre mais

Ça donne un peu envie de s'acheter un arbre à chat

 

Et puis il y a ceux qui étaient cons, qui ont souffert et qui continuent à être cons

 

Et puis il y a ceux qui ont du style, du style à tout se faire pardonner

Ou presque

 

Il y a les vrais gentils

 

Il y a les intellos gentils beaux sensibles artistes drôles intéressants cultivés prévenants à l'écoute cléments urbains civils sportifs fair-play attentifs amoureux tendres sensuels créatifs mélomanes joliment musclés pleins de dérision et sincères

Mais en général ils ne font pas long feu

 

Il y en a des trop laids pour éviter l'humour

 

Il y a ceux que le système aura mis de côté, qui ne connaîtront probablement jamais l'amour, terribles victimes d'eux mêmes ils veulent retourner voir maman jusqu'à la fin de leurs jours

 

Il y a ceux que le drame aura révélé

 

Et les politiciens

 

Et les trop riches pour vivre

 

Et les trop pauvres pour avoir faim

 

Mais ce qui continue à me questionner c'est la trahison. Du jour au lendemain la place est vide et elle ne vous est pas destinée. Ce qui faisait jadis le sel d'une conversation devient une arme blanche en plein cœur, quand on est enfant encore, je peux comprendre mais après 18 ans c'est intolérable. Et même avant, je ne sais pas comment quantifier ça mais c'est trop, c'est mille fois trop pour que l'éducation Nationale ne prévienne pas cette horreur. Je connais des gens honnêtes. Mais j'ai cru connaître des gens honnêtes. Et j'ai vraiment du mal à m'en remettre. Je comprends qu'on puisse en jouer, un peu comme un sport mou, pourquoi pas mais reprendre tout ce qu'on vous a si gracieusement offert pour vous cracher à la gueule... Je peux vous promettre que ce n'est pas une psychanalyse qui peut régler ça. Je le sais parce que j'ai pratiqué des pratiquants, et ce n'est pas beau à voir. Une psychothérapie peut-être, je n'en sais rien mais pas une psychanalyse, d'ailleurs pour moi il s'agit d'une saignée mentale, qui emmène un peu de tout en bien comme en mal.

 

La cruauté, la cruauté dont on parle quand on parle des Scorpions pour moi est bien différente. Je sais que ça peut faire sourire et je le comprends mais je m'en sers pour étoffer mon propos. Pour moi cette cruauté n'est pas forcément négative, je la perçois comme une forme d'humour noir, une façon d'envoyer bouler tout ce qui est inutile avec un minimum de moyens. Il peut s'agir aussi d'une cruauté artistique (on parle bien d'économie de moyens) en bref une façon d'aller à l'essentiel, sans soucier du qu'en -dira-t-on.

 

Mais la méchanceté est une bêtise. La méchanceté rend tout le monde con. C'est très souvent, à l'inverse de la cruauté une façon de se répandre et de répandre la négativité autour de soi. On s'encombre. On recrache, sans prendre le temps de même écouter. Il y a la question de l'auteur aussi. Ou plus profondément du poète, le poète n'est ni bête ni méchant ni gentil, il est fondamentalement au croisement de la bonté naturelle et de la cruauté qui bouleverse. Il cherche le juste et l'exact, qui pourrait-on dire, nous lave de nos péchés. Bien sûr que tous les auteurs n'ont pas ce même désir, certains bien qu'ils voient clair dans ce jeu deviennent méchants parce qu'ils veulent répondre à un ordre politique écrasant, d'autres veulent être gentils parce qu'ils réagissent à la méchanceté ambiante, bon et il y a les gens qui ne se posent pas ce genre de questions.

 

La douleur est à la souffrance ce que la cruauté est à la méchanceté. On peut contrôler l'effet de l'un sur l'autre. Travailler la conscience par la méditation, de quelle qu'en soit la manière, permet de reprendre les rennes au plus vite. C'est également un plaisir. Mrrr.

 

De la même manière que ça fait du bien de laisser son mec aller se balader en ville tout seul, en respirant avec lui ce moment de complicité éloignée, se dire comme c'est beau qu'il soit là et ailleurs et partout, et partager tout. Tout dans le positif. Cet émerveillement me manque.

 

Un pacte avec ma santé

Le 06/10/2022

Les choses vont décanter, s'affiner, s'affirmer, se tamiser, se transformer. Retour sur cette présence Pedro, comme un gadget quasiment : il est là et parfaitement là. Il est éternelle matière, monastère. Quand tout se complique, tout est futilité. Il suffit d'une respiration profonde : de l'or. Déçue par ceux qui comptent, un petit peu par là, énormément par ici... Qu'en dis-tu ? Le creux de la vague, ni plus ni moins. Ces choses qu'il faut que je fasse, comme une injustice profonde. Ce n'était pas le jour. C'était un jour pour recevoir, pour revenir à soi. Je suis triste d'avoir des histoires de merde avec mes thérapeutes, me faire virer de chez mon amie, de faire pester S... Je suis fatiguée et je crains terriblement quand j'écris que je suis fatiguée, en termes d'énergies c'est pire que nul. Comment m'écrire de la pommade pour le cœur ? J'ai quand-même peint un beau tableau il y a peu. Il est tard. Garder en tête que j'ai un bon boulot même si pour le moment c'est difficile, que tout un tas de gens m'aiment et même des gens qui me font chier parfois. Je suis grosse, par contre et ça ça me fait chier, je dois retourner à l'Aïkido.

La libération c'est pour bientôt ?? C'est maintenant. Maintenant que j'entends, que je prends en compte cette présence et que je la sens habiter tout mon univers. C'est comme une boule d'énergie dans ma poitrine, qui me lave toute entière. C'est une chance de maintenant. J'ai dit et me suis sentie récompensée pour ça, que tout le monde méritait de vivre le grand amour et que ce grand amour se vive bien. On serait tellement moins cons, ce n'est pas comme s'il y avait une différence entre le souhait et la réalité, c'est juste une question de finesse. Nous vivons tous un amour plus ou moins déchiré, un amour qui nous fait tenir malgré tout, une fascination peut-être, quelque chose qui nous fait tant de bien que de mal. Nous sommes tous plus ou moins habiles à le recevoir et à le rendre, c'est une question de contexte, de maintenant. La plénitude dans tout ça, c'est une équation mathématique : E=MC ²

Énergie égale masse fois célérité au carré.

Quand la vitesse de la lumière est multipliée à la charge poétique vient la belle et bonne énergie. C'est au-delà de la dualité, mais cela a besoin de la dualité. Nous sommes formés par ça. La plénitude c'est juste trouver. Ce que l'on ressent quand on fait l'amour, de façon si évidente. Tant de frustration chez moi mon Dieu, je voudrais me reposer, poser mon cœur sur ce clavier, sur cet écran, cet écran immense, le champ visuel jusqu'au bout de l'océan... Mon cœur est peuplé. Mes yeux sont peuplés. Mes chants, ma voix sont peuplés. Des langueurs malgré tout. Maintenant. Tout, ici. Pour toujours. Je n'ose rien demander. Un chat miaule dehors. En pleine nuit, qu'est-ce qu'il fout là ? Il faut que ce chat quitte son domicile pour venir jusqu'au mien et miauler. Moi aussi je miaule. On dirait qu'il est parti. La douleur de ne pas se sentir accomplie joue avec la certitude d'aimer et de l'être en retour. Prise de tête.

Maintenant c'est impossible, puisque c'est à l'intérieur. Ça ne se dit pas, ça se déguste. Ça se remercie, ça vous en prie. Ça s'aime. Ça s'interroge. Ça vit. La certitude que seulement ça puisse vivre, cette certitude est la seule. On ne peut pas aimer quelqu'un dans la certitude, mais on ne peut qu'aimer la certitude qui fait le lien. Ceux qui nous aiment nous aimerons un peu moins un jour, merveilleusement le lendemain, un peu moins au bout d'une heure, et tellement lorsqu'on ne savait pas... Il y a un fil rouge. Il y a un fil rouge qui dit qu'il n'y a rien et qui ment. Le cœur accompagne ses mouvements, cela danse. Si l'on est encore en vie ce n'est pas pour rien. Bien sûr il y a les êtres aimés, mais je crois que ce fil rouge est responsable de toutes nos folies. Le meilleur est quand nos folies sont de bon goût. Je veux bien parler d'impermanence, à condition qu'elle ne le soit pas trop. Et ici ou là, nous avons profité ou non, abusé ou non, comblé, épaulé, violenté, supporté... Tout cela est disponible dans le cœur de maintenant. Un comédien apprend à convoquer des sentiments en lui mais il est protégé par une narration, un espace bien particuliers. Le jeu serait de prendre en soi l'espace que je peux ressentir dans le présent, avec ce que me dit le contexte de ma situation, et d'en rédiger les actes. Il n'est pas simple d'être disponible dans la vie comme sur scène. Pourtant, l'art nous parle de ces questions. Commencer. Après en général ce n'est pas si compliqué, mais commencer. Honorer la certitude. Respirer l'alcool de la chaleur, s'enivrer des contacts comme des absences. Quelque chose a fait un pacte avec ma santé.

 

Intro projet fou

Le 18/09/2022

Se battre contre des moulins à vent... Quand ils sont si dangereux... Le vide, la torpeur d'un monde de mauvais spectacle. On sait où trouver midi à sa porte, la plupart du temps et avec Internet des millions de portes s'ouvrent... La presse indépendante fourmille d'idées merveilleuses, mais apparemment pas rentables. Ou alors gênantes parce que nos oligarques aiment à se partager un silence ouateux, un univers adipeux, un mélange de foie gras mélancolique et obstination. Pour le transpercer combien de flèches ont échoué et échouent chaque jour, alors qu'il se gonfle et que la misère se creuse... Je ne vous apprends rien. Mais je voudrais à mon tour lancer ma flèche, et j'ai besoin de vous. J'ai besoin de rêves et de révolte. J'ai besoin de reconnaissance, je ne peux pas le cacher. Et j'ai besoin que l'on me comprenne : je crois définitivement à mon projet, mon projet « fou », qui paraît-il ne l'est pas tant que ça. Je vous invite à vous renseigner sur ce qu'est la psychothérapie institutionnelle. On y considère que le patient est malade de la société. J'ai eu un ami, un bon ami qui souffrait le martyr au quotidien. Certains le supposaient inquiétant et à la réflexion c'était sans doute un peu vrai. Le pauvre homme disait qu'il pensait que Freud n'avait pas tort le concernant parce qu'il avait eu le cauchemar de violer sa mère et de tuer son père. Il était gentil quand-même. Et plus que tout, il s'était vu en samouraï se faisant hara-kiri. Et cette image le poursuivait, il en était obsédé. J'en ai eu cette analyse : je pense que ce qui a fait le drame de ce monsieur, ce n'était pas tellement la narration du complexe d’œdipe, mais la violence qui en émanait. Freud parle sans-arrêt de sexe, et jamais de tendresse. Je pense que c'est une façon de discourir particulièrement violente et qui frappe beaucoup de gens, sous-couvert de science et d'autorité intellectuelle. Qui a envie de tuer son père ou sa mère ? Quand-même pas tout le monde, je pense.

Quant à sa vision de hara-kiri, sachant que ce monsieur s'intéressait avec passion aux écrits spirituels, on peut y voir un désir frustré au plus haut point de soulagement par la sagesse, une sagesse totale puisque se résolvant par la mort.

J'ai également connu un monsieur très atteint qui répétait en boucle l'expression : « soupline, soupléééss » et m'a permis de comprendre qu'effectivement ce monde ne nous demandait qu'un peu de douceur et de souplesse. Je me devais de réagir. Faire ce qui devait être fait, selon ce que j'ai compris. Selon l'expérience que j'ai eue des expériences qui m'ont été transmises. Pour faire court : Je nous vois comme des prismes du chaos. Et je ne peux imaginer un monde sans folie, en revanche je peux l'imaginer harmonieux. Et surtout un beau jour : sans misère.

 

 

Un projet fou

Le 26/06/2022

Ici une lettre à mon cher Journal, un grand psychiatre dont je tairai le nom, qui ne m'a JAMAIS (ou presque) répondu, à moi, et à toutes mes lettres, qu'elles furent amoureuses, blagueuses, haineuses, jalouses, racistes, mélancoliques, douteuses. D'où ce surnom de « journal ». Après quelques années de silence, je reviens à la charge. En espérant avoir une réponse un peu folle. On ne sait jamais, avec ces petites bêtes.

 

Cher Journal,

J'espère que tu vas bien.

Vraiment, je te souhaite tout le bonheur que je me souhaite à moi-même, et pour couronner cette fusion, j'aurais un service à te demander. Tu n'es pas sans savoir que j'ai beaucoup souffert de l’Éducation Nationale, et que cette souffrance n'était pas anodine. De ma culture et de mon expérience, j'ai élaboré un plan de Nouvelle École, et oui, c'est bien ce que tu crains, je voudrais que tu en crées le parti.

Mes idées sont généreuses, mais je ne peux pas les porter : premièrement je suis seule, mais surtout, j'estime que ma place d'artiste se loge dans le contre-pouvoir, et je veillerai à y rester. Non pas que je te voie comme un embourgeoisé (pas pour le moment) mais je t'ai vu sévir en tant que tribun et tu avais l'air d'être assez à l'aise.

Venons-en aux faits.

 

L'homme est de nature martiale, l'homme est un animal qui a besoin de se battre. La solution : l'Aïkido. Je ne sais pas si tu es au courant, mais l'inventeur de l'Aïkido (« celui qui attaque ne sait pas qu'il est blessé ») était vieux, petit, chétif et malgré cela faisait tomber des colosses. L'Aïkido à l'école permettrait de se battre dignement en cas de conflits, il pourrait devenir un argument de séduction et avec tout ça faire du fric à qui en a besoin grâce aux places des spectateurs. Par extension, les guerres pourraient être remplacées par des compétitions sportives, à nous de montrer l'exemple.

 

L'homme est un animal qui a besoin de faire sa parade nuptiale. L'apprentissage d'un art, choisi au douzième anniversaire, permettrait de se forger une identité et éventuellement palier à un manque au niveau sportif. Le but n'est pas de faire des virtuoses, mais de construire quelque chose de plaisant tous ensemble, et encore de faire du fric avec les spectateurs.

 

L'homme est un animal doué de respect, profitons-en. Toute menace vient d'une vie ignorée, je rejoins Brassens (pardon-je sais que tu n'aimes pas qu'on t'embête avec ça, mais franchement moi c'est pas mieux)quand il parle des cons, et je pense que l'école devrait être ouverte à tous les âges, je mettrais ma main au feu qu'on y trouve un sérieux tout nouveau et un respect beaucoup plus important.

Par ailleurs j'ai pu tester, dans un collège Lycée Expérimental qu'un cours dirigé par deux professeurs était bien plus efficace et plaisant.

 

L'homme est dans une mauvaise merde écologique qu'il voudrait (à peine) traiter comme une cause alors qu'elle est une conséquence. Le potager à l'école, le soin des animaux à l'école me paraissent cruciaux. C'est de l'intérieur que fleurira l'écologie et la cause de sa crise est totalement spirituelle, pour cela je pense à une méditation douce (Petit Bambou marche très bien.)

 

L'homme est parfois un dangereux criminel quand il est persuadé d'être foutu ou qu'il préférerait l'être parce que cela lui donne un confort stupide. Je pense que nous n'avons pas le droit de désespérer de qui que ce soit, c'est trop facile, d'un côté comme de l'autre. Il faudrait vraiment qu'il soit clair que tout le monde peut revenir à la vie, que tout le monde a le choix de se battre en apparence ou de façon plus intérieure, de revenir là où il en était, de se laisser une nouvelle chance. Ici quelque chose de très important : ce qui m'importe est que l'on puisse avoir ce choix, et que nous nous battions pour cela.
Autre chose. Pour la question de l'avortement, je pense que c'est un choix grave, mais malheureusement un choix qui parfois est nécessaire dans la vie d'une femme. Quand Simone Veil dit qu'on « ne naît pas femme, (mais qu') on le devient », je suis tout à fait d'accord et je pense que la vie n'est jamais sans obstacles et même jamais sans deuils, alors hein bon.

 

Pour en revenir à nos petits couillons qui sèment l'embrouille, le sport me paraît une bonne manière de revenir à la réalité. Là encore, nous aurons des spectateurs, donc encore du pognon, et quelque chose qui n'a pas de prix : l'estime.

 

Il y auraient, dans mon système, des diplômes. Mais des diplômes au cas par cas, avec des appréciations précises.

 

Tu cherchais la parole du fou, journal. Ben la voilà.

En 2021 je me suis remise du décès de Pedro. Maintenant je suis comédienne à la Compagnie de l'Oiseau-Mouche (fais ta recherche, nous avons bonne presse) je peins des belles choses et j'écris enfin des chansons, je cherche des musiciens. Nous pourrions travailler main dans la main, mais ne compte pas sur moi pour faire la campagne. Je te propose mes idées, on y réfléchit, on s'entoure et dès que possible on parle à tous ces gens d'un changement radical, tourné vers le bonheur.

 

Je t'aime beaucoup, Journal, et ce serait un honneur de coopérer avec toi. Je me souviens de ton petit mot gentil quand Pedro est parti, tu disais que le temps était mon meilleur allié. Je te remercie, c'est très joli. Je compte sur toi, je sais que tout vient de l'éducation. Tu vas quand-même pas me dire que j'ai tort. Et il y a urgence.

 

A bientôt, j'espère.

 

Lucie

 

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