loupiote
Elle est bonne
Le 30/12/2015
Oh ! Hendrix ! |
J’ai encore apporté des fleurs à Maryvonne,
Et c’était toujours pas les bonnes.
Qu’elle est velue, la grasse Bretonne, inspirée, encore, elle m’entonne
La Marseillaise.
Patriote, elle assume, Française,
De n’être pas tout le temps et pas partout à l’aise,
Le contexte où ont été contés les textes, comme sur des braises
Est un prétexte à soigner son expression, mieux qu’une nonne, et Maryvonne change son langage, et s’éclate au pieu, mieux, elle enrage.
C’est qu’il faut aussi préserer son image, Maryvonne n’est pas conne, elle fait jeune pour son âge, et pour le quart-monde, s’engage.
Mais mes fleurs restent couchées sur le rivage, et perdus, mes babillages tendres font naufrage, je sais bien que mon corps revient d’un mauvais chômage, mais il est tant de miracles qui naissent d’un partage…
Maryvonne elle reste bonne, comme celles à tonton mayonnaise, et c’est vrai que manger des bullots appaise, qu’il faut désirer manger avant de sucrer les fraises, c’est dans l’ordre des choses, et Maaryvonne baise.
-Mais pas moi, et je ne suis pas à mon aise, frissons inutiles comme dedans la glaise, libido intello, le travail me pèse, mon royaume pour un royaume plus grand que ma paume.
On prie mieux pour les vieux que pour Maryvonne, on n’est exaucé que là où l’on pardonne, j’ai bien fumé toutes mes tasses de café, d’orgueil et de vice il me faut exulter.
MARYVONNE ! Tu es la fleur qu’à mon veston je boutonne, tu es la musique que les chatons ronrronnent, de toutes les femmes tu as toutes les formes !
Je ne sais si, un jour, j’aimerais dans les normes, un beau garçon bien fait, intelligent, énorme, aux oreilles crues dodues et poilues, me rappelant, ainsi, l’état de ta vertu.
Lucie Santos, déc. 2015
Les mots ruinés
Le 16/11/2015
La musique arabe |
J'ai écouté sans entendre
Et j'ai encore parlé
C'est devenu
Utile
Injurieux
Drôle
Ils ont compris
Ce que le Seigneur les a laissé comprendre
Dans son infernale désinvolture
Et nos coeurs, de viande
Se sont envolés d'en dessous les décombres
Et les ruines
Encore une fois
- Commentaires textes : Écrire
Bouteilles à la mer...
Le 17/12/2015
Canard de Bain |
Puisque nous avons la chance de bénéficier d'une certaine liberté d'expression, profitons-en et assumons que la messe du journal soit bien la messe du journal ; et ne restons pas empéttrés dans une misère stupide qui nous vient d'ailleurs, les bras ballants. Nous avons besoin de respirer, de créer, d'une manière ou d'une autre. Si on ne crée pas de toute façon on tombe malade. Je parle de la vie psychique, des maladies de la vie. Parce qu'il y a quelqu'un à l'intérieur, qui nous de mande de la douceur. C'est pas des blagues. C'est très difficile de s'adresser au tout-venant. Je dis et je répète qu'il ne faut pas prendre tout que je dis comme du pain bénit, je peux me tromper, surtout dans un exercice aussi délicat que celui-ci. Merci donc, merci beaucoup.
Pièce de théâtre : Adorables questionnements
Le 12/10/2015
C'est la teuf |
Adorables questionnements
Les cinq personnages se présentent tour à tour en impro. Au centre de la scène, un lit, une chaise, les cinq personnages sont debout. Tisane au milieu. Les autres personnages sont : Rose (seul personnages féminin), Claude, César, Broutos.
TISANE : Ils ne comprennent rien ! Ils ne veulent rien savoir ! J’ai pourtant fini par dire, les échos en ont raté ma mort de si peu !
Moi, je dois être le problème, une surdité contagieuse, une tâche, une merde.
Les volcans ne savent pas ce qu’ils contiennent, je vous le jure, sinon cela ferait longtemps qu’ils auraient tout craché !
On ne gagne rien à parler à vif, on ne gagne rien à creuser la terre. Ou peut-être d’un jour y trouver les enfers. Moi j’ai cru au peuple… oh… le peuple… Ils ne comprennent rien.
(1 temps)
J’ai aimé pour que le sort m’en soit redevable, j’ai creusé, creusé…
Ils te réclament les étoiles, grand soleil, et pour peu que tu balbuties l’étincèle ils te tournent le dos. Le peuple… Le peuple ne sait pas ce qu’il veut. Sa décadence a perdu sa splendeur, pour encore combien d’abus ?
Comme ils chérissent de se battre la coulpe en rythmant les chants sordides du déni ! Ils ne veulent pas m’aimer. Je dois venir d’une mauvaise peuplade. Ou alors, comme leurs angoisses, j’en dis trop sur leurs rêves inachevés. Je dois taire ce qui fait leur orgueil, malencontreusement. ( crié ) : qui, ils ?
Que je prie pour me trouver heureux, que je prie comme une âme honnête. Là où je trouverai cette improbable solitude (crié): Mais je ne veux pas être seul !
ROSE : Mais tu n’es pas seul ! (1temps. Murmuré) : tu n’es pas seul !
Nous, les témoins de Jéhovah, nous croyons à une paix éternelle, où les meilleurs d’entre nous seront heureux pour toujours.
Tu as beaucoup d’amis même si tu ne le sais pas encore. Mais un jour, tu entendras l’appel. (Elle sort une bible de son sac et la lui tend. Tisane reste perplexe et grave. Il lui rend la Bible.)
TISANE : J’aime pas.
ROSE : Comment ça ?
TISANE : Comment ça quoi ?
ROSE : Eh ben, c’est joli…
TISANE : C’est…
ROSE : … Joli
TISANE : C’est…
ROSE (sèche et mauvaise) : JOLI.
TISANE : J’aime bien la couverture
ROSE : Ah ! Tu vois ?
TISANE : C’est …
ROSE : La vérité.
TISANE : Une expression du chaos comme tant… Ca a pas l’air bien neuf, si j’en crois les…
ROSE : Oh, hein, les ruses du malin ça va comme ça, tu te les gardes, tes objections. D’abord, au tribunal des gens gentils et méchants, toi tu vas encore raconter des histoires tout le temps de l’éternité des malins. (1 temps)
Et puis quand tu diras : « objection ! », eh ben l’ange Michaël il te dira : « rejetée ! »
TISANE : Non, ça c’est aux États-Unis.
ROSE : Qu’est-ce que t’en sais ?
TISANE : Je sais, ce sont des choses qu’on connait.
ROSE : Qui connait quoi ?
TISANE : Je sais pas, je… je sais pas mais aux Etats-Unis, je sais que… Oui, c’est un peu con.
ROSE : Ah ! Tu vois !
TISANE : Oui, oui. Tant qu’ça fait des tunes, pourquoi pas.
ROSE (profondément choquée) : OUH ! Le vilain !
TISANE : Mais j’ai pas dit que j’en avais besoin « moi » !
ROSE : Mais moi non plus !
TISANE : Ce livre est autant nourrit d’espoir que de haine ; d’amour comme d’aveuglement, c’est un fourre-tout abyssal pour faire courber les échines, je le sens, je ne le connais que de faits, de réalités sanglantes, je le connais de mes intuitions les plus sûres, et toutefois, je ne me sens pas libre, et c’est là mon humiliation, de ces mouvements souterrains, qu’auront déclenché les conflits boueux de ces pages si noires, je suis un malheureux soumis sans pour autant trouver le doux repos d’un bon musulman. Je sens… Je sens…de l’abus. De l’abus. Un abus bien profane, digne d’une mauvaise Commedia dell’arte. Là où nous aurons tous perdu nos frères et sœurs, qu’ils fussent végétaux ou animaux… Voire fantomatiques. Je sais les jouissances de l’amour charnel, les tréfonds la colère de nos pertes. Mais pour des milliers de cris je préfèrerais le purgatoire.
ROSE : Vous… Vous êtes scorpion ?
TISANE : Je resterai paranoïaque.
ROSE (soudain infiniment douce. ) : Ooooh Mais vous savez, il y a des tas de scorpions qui font fortune en ce moment, c’est très intéressant, avec un peu de bonne volonté…
TISANE : ASSEZ !
CLAUDE : Rose, je t’aime.
ROSE : Il est quelle heure ?
(César se met à marcher en souriant savamment, Broutos se met à rire, d’abord par éternuements étouffés, puis franchement grassement.)
TISANE : Huit heures et demie.
ROSE : Je vais regarder le journal.
CLAUDE : Mais… Mais… R… Rose !
BROUTOS Aha, toutes les mêmes, hein, vache ! La ssal…
CESAR : Lade ! La salade, Broutos ! Combien de fois devrais-je te le dire, une femme ça se respecte : sans elles, pas de procréation !
BROUTOS : Oui, sans forcément parler de ça…
TISANE : Oui, tu pourrais faire plus tolérant…
BROUTOS : Voiiilà : Tolérant ! ‘ cherchais l’mot !
(Silence grave et embarrassé. Les regards s’évitent.)
CESAR : Je propose qu’on dise l’Ave Maria.
TISANE : Ave Maria
CLAUDE : Ave Maria
BROUTOS : Ave Maria
(Un autre long temps)
BROUTOS (il éclate) : Bon, ça va, qu’est-ce qu’elle a cette conne avec son journal ?
TISANE : Oui, je n’ai jamais compris l’intérêt…
ROSE (déboule en courant) : C’est horrible ! La bourse est en baisse !
CLAUDE : C’est en baisse, la bile est en boule !
TISANE : C’est en rible, la housse est en bile
CESAR : C’est horrible, l’horrible est horrible
BROUTOS : C’est en… en bourse, le… la… La bourse… (rire mou)
TISANE : Et y’a la guerre !
Claude : La guerre…
CESAR : La guerre.
BROUTOS : La guerre…
ROSE : Je vais faire pipi.
CLAUDE : Les gars, ça faisait longtemps que j’avais pas ressenti de… Rose. (1 temps)
Elle est chouette, elle a besoin de quelqu’un. (1 temps)Moi, je, je… Mais… Vous croyez ?.
BROUTOS (rêveur) : Dans un sens…
CLAUDE (fâché) : Ben oui, pas dans tous les sens, quand même ! j’suis pas un sauvage ! Rhôôô=… Il salit tout !
CESAR : (rire mesquin)
TISANE : Tu devrais lui dire le visage de ton inspiration.
(CLAUDE, soudain le visage tendu, ménage un temps pour trouver de quoi lui répondre.) : Me cherche pas, toi, l’intello du village, tu te prendrais un parpaing qu’t’aurais pas le temps de chier tes burnes !
ROSE (elle accourt) : J’ai ramené une surpriiiiiise !
CLAUDE (se tournant vers elle violemment.) Quoi ! (il devient soudain confus. Rose reste interdite, delle a à peine eu le temps de sortir de son sac une bouteille de Ricard.
BROUTOS : Ah, ça c’est bien, ça, j’en veux bien un peu de ça, moi, j’aime bien, je… je… j’aime bien, un peu, je vous en prie. (1 temps) Mais maintenant, hein, là je vous en prie.
CLAUDE : Mais non, on va partager.
BROUTOS : Ah si-si-si il faut , hein quand même, si-si-si. Si.
CLAUDE (contraint et forcé par le poids de la misère humaine, lui tend la fiole. BROUTOS boit quelques gorgées et rend la fiole à Claude.)
BROUTOS (tout ragaillardi) : Aaaah. Ah, vive la France ! Vive les gens, et les autres !
TISANE : Eh ben, il t’en faut peu.
BROUTOS : Pourquoi ?
TISANE : Cherche pas.
BROUTOS : Nan mais si, dis-moi, que je m’endorme moins bête ce soir, heua !
TISANE : Ca, ça n’est pas possible.
BROUTOS : Pourquoi ?
TISANE : Hélas ! J’aimerais tant savoir !
ROSE (elle boit un peu. Elle ménage un temps pour elle.)… Le peuple vaincra. Le peule est sanctifié au de là de tout. Le peuple aura sa chance. (1 temps) Le peuple vous emmeeeeeerde, tas de cons !
CLAUDE (un peu choqué, un peu xdéçu) Rooooose … !
BROUTOS : C’est quoi, le peuple ? (1 temps)
TISANE : Mais qu’est-ce qu’il est con, mon Dieu, je n’ai jamais rien vu d’aussi achevé.
CESAR : Le peuple, c’est… Le peuple… Eh bien…
CLAUDE : Non mais laisse tomber, ça énerve Tisane.
TISANE : Mais c’est quand même pas compliqué, que je sache ?
BROUTOS : Tu peux m’expliquer ?
TISANE : C’est… L’esprit qui unit le collectif.
BROUTOS : … Comme au foot ?
TISANE : Mmm… Oui.
CLAUDE : Rose, je t’aime.
ROSE : ouhouhou, le polisson.
CLAUDE et tu aimes les polissons ?
ROSE : Oh oui.
CLAUDE : alors, ma p’tite coquine, tu…
ROSE : Mais j’ai fait vœu de chasteté chez les scouts !
TISANE, CLAUDE, CESAR, BROUTOS : Meeeeeeeeerde !
ROSE Toutefois, il m’arrive… Il m’arrive, il, je, enfin, gnrââââ…
TISANE, CLAUDE, CESAR, BROUTOS : Aaaaaaaaaaah !
Rose : Oh ça va, hein, chiotte !
CLAUDE : Oh, quand même, ma prune !
ROSE : Mon soleil… (1 temps)
TISANE : J’ai du mal à suivre, en fait. Vous vous tripotez ? euh, enfin vous, vous, avez une activité…
ROSE : Oui, oui, oui !
TISANE : Mais, maaaais…
ROSE : A gauche.
TISANE : Quoi, à gauche ?
CLAUDE (furieux) Toi tu vas la fermer ! T’es pas d’la police, i’m’semble, alors tu lui fous la paix !
TISANE : Excusez-moi
(Rose arbore un sourire radieux. 1 temps. Claude savoure sa victoire.)
CLAUDE : Tu vois, ma prune, c’est comme ça que j’leur parle, moi, aux cons. T’as qu’à voir, hein !
ROSE : Seul Dieu sait. (1 temps)
BROUTOS : Seul Dieu sait combien tu t’es tapé d’blaireaux, hein . Allez, dis-don’la vérité, moi ça m’connait les p’tites bourgeoises qui s’font pét…
CESAR : Whô !
TISANE : Oui, l’analyse semble heureuse, mais je dirais que l’espace-temps n’en n’est pas adéquat.
CLAUDE : Ta gueule.
ROSE : (triste.) De toute façon, tout le monde sait que la schtroumpfète n’avait aucune rivale… Alors franchement ; vos petites attentions hypocrites, j’en veux pas.
CLAUDE : Mais ma chérie, dis-nous qui tu es ! Apprends-nous à t’entourer, et moi le premier ! Moi qui t’aime ! Ma petite coccinelle, et puis, ah !Ce parfum qui m’enivre, il es tellement doux !
ROSE : Non, il est pas doux.
CLAUDE : Pourquoi… Tu dis ça ?
ROSE : Il est fleuri.
BROUTOS : Hà ! Du poisson, je veux bien, du parmesan ou de l’emmental, à la limite, mais des fleurs, celle-là, on va pas me la faire !
TISANE : Mais ils parlent de parfum…
BROUTOS : Ben je veux, oui !
TISANE : Mmbon. (1 temps)
CESAR : Et l’écologie, bande de rustres ! L’écologie vous vous en foutez, hein, mais moi au moins j’en souffre. ( 1 temps)
BROUTOS : Pourquoi ?
(TISANE pleure.)
CLAUDE : Moi je donne pas mon opinion. Je sais ce que c’est, de souffrir.
ROSE : Mais voyons, messieurs ! Nous souffrons tous ! (TISANE approuve par hochements de tête pleins d’espoir.) Personne n’a connu la paix jusqu’à présent ! Mais la paix viendra ! L’écologie viendra ! (TISANE hurle. Noir. Il pleure de tout son saoul. On l’entend dire « j’ai mal ! Ah ! J’ai mal ! J’ai mal… Partout, putain ! AAAAaah ! Silence. Lumière sur tous. Tisane en position fœtale sur le lit, face public. Rose est sur la chaise près de lui. Il parait grave et sonné. Broutos est pétrifié côté cour. Il semble exclus des errances pensives de Claude et de césar. Long temps.)
ROSE (s’inquiétant de TISANE, le touche au front.) Ca va mon poupon ? Oh ! Mais tu es fiévreux ! C’est pt’êt’ les vers…
TISANE : Quelque chose m’échappe, quelque chose m’échappe…
ROSE : Ben oui mon titou…
TISANE : Dis-moi, Madone, dis-moi…
ROSE : La vie est belle, tu sais. La vie est belle. (1 temps)
ROSE (chuchotant) : Tu es mon préféré, petit baba au rhum. Bon. (1 temps)
ROSE : Je vais au Paradis, tu me rejoins ?
TISANE : Oh, pitié, Madone, pitié, plus d’écorchures à ma bienveillance…
ROSE (franchement agacée) : Mais c’est juste là, rhâ les mecs, j’vous jure, c’est tou-jours pareil.
CLAUDE : Salope.
ROSE (elle sort)
TISANE : J’ai toujours cru que dehors, c’était dehors. Alors que dehors, c’est dedans.
CLAUDE : Toi, j’sais pas si t’as fait Normal Sup ou l’ENA, mais ça t’a pas réussi !
TISANE : j’me casse. (Il sort)
BROUTOS (à César) : Zut ! Mes médicaments !
CESAR (à Claude) : Tu… Penses qu’il y a des éditeurs sympas, là-bas ?
CLAUDE : En tous cas si ça nous permettait de nous débarrasser de ces…
CESAR : Problèmes ! Il faut respecter les étrangers, sans eux, pas de procréation ! On parle de problèmes, pas d’ennemis !
CLAUDE : Tu verras, quand ils auront brûlé ta bagnole !
CESAR (1 temps. Visiblement embarrassé, il lâche ) : Eh ben j’en rachèterai une autre !
Lucie Santos, juillet 2014
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Dire
Le 17/11/2015
Un souci |
Ce que je veux dire est plein d'espoir. Mais cessez donc de pleurer cet espoir qui ne fait que le chemin des pousières éternelles. Ce que je veux dire accompagne fièrement ceux qui ont la chance d'être chanceux face à ce que je veux dire, ce que je veux dire déplait à ceux qui ont semé leurs fantômes au coeur de mes ironies, ce que je veux dire est que nous manquons d'amitié.
Ce que je veux dire attend sur une chaise ensoleillée de blanc au pied d'un petit immeuble, un regard de chat frémissant au moindre signe. Ca n'est pas inscrit aux présidentielles, ni aux cantonales, ni aux régionales, presque normal...
Nous manquons d'amitié.
Nous manquons d'amitié et voyons ses promesses partout. Ici le choix de voir des promesses d'amitié n'importe où.
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Génial. je le découvre. Mais c'est trèstrès bon madame. Bravo.