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Blog de Lucie Santos

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C'est lui !

Le 10/10/2016

Je ne cherche pas plus, mais ailleurs.

Je ne frappe pas, je bouscule

Je ne doute pas, j’étudie

Je n’insulte pas, je reste forte

Jusqu’à ce que la nuit tombe.

 

Je ne pleure pas, car la nature est fraîche

Je ne me déchire que si

Le futur me parle d’une prochaine plénitude

Je n’accueille que ceux qui partageront mon devoir

Je n’ai d’autre devoir que celui d’être généreuse…

Et puis le jour se lève

 

Je n’ai de mauvais, que tout ce que je veux nier

Je n’ai de bon que de plaisants résultats

Je n’ai de bons exemples que ceux de mes faiblesses

J’ai pour frères et sœurs ceux qui suivent mes superstitions

J’ai pour colère le mauvais temps et les crimes

J’ai pour sympathie l’ivresse et les douceurs

J’ai pour quotidien des ocres et des beiges

De l’or qu’on prend pour terre

 

Parfois je prends mesure

De tout l’espace ambiant

J’embrasse l’air des rues et tout me parait bon, beau et délectable, discrètement

Et plus rien ne compte sinon la frayeur de quitter cet espace

Ce soir, souvent

Ces bonnes personnes

Et les premiers flocons, qui perdent la science de leurs délicats graphismes, abandonnés, là, pour prendre la mort et la couleur de son avide surface.

 

Je n’ai pour combat que de rattraper la Poésie qui s’échappe.

Je n’ai pour dépit que les acides gras sursaturés.

Je n’ai comme compagnie que la fantaisie

Je n’ai pour regret que la fatigue de mon imaginaire

Je n’ai pour amour que du travail pour toujours

Je n’ai de loi que de guérir, incessamment, guérir…

Et le soleil de poindre, béat, comme toutes ces prières insupportables…

Mais il fait chaud, mon cœur, il fait chaud.

 

Oooh merci Pedro !

 

 

 

 

Blaise Argentin

Le 29/08/2016

Il n’avait pas d’armure. Il se promenait sur un sable blanc tiède. Les oiseaux se ressemblaient tous, son nom était Blaise Argentin. Il avait connu l’hypocrisie et s’en était fait un oncle toujours ivre. Oncle Maxence. Ni lui ni Blaise se savait pourquoi au juste ils se fréquentaient. Ils parlaient des démesures américaines, sujet capable de tenir des soirées entières de mensonges éhontés. Les amis étaient partis, il restait quelques rombières dans les alentours : ils avaient fait fuir tout le monde. Les femmes leur manquaient. L’alcool ne les amusait pas.
 

            Souvent à la chasse au Dahu, Blaise utilisait des flèches empoisonnées. Ce qui fichait le repas en l’air.

 

            Ils s’habillaient de loques noires et beiges, même si Maxence aimait bien le rose. Ils portaient leurs vêtements comme s’il les avaient abandonnés il y a longtemps. Le Soleil Italien tapait fort.

            Quand les femmes revenaient de leurs cauchemars, c’était des larmes de bonheur. De malheur aussi. Toujours de quoi se disputer le moindre savoir. Toujours chercher à expliquer la moindre plénitude, le moindre charme, au cas où on pourrait les reproduire à l’aide d’une fabuleuse technique. Donc les femmes étaient là.

            Le Soleil Italien égaillait aussi les nourritures d’un paradis avec portes de sortie latérales. Partout, il fallait faire attention, partout.

            Et moi j’étais la meilleure avant d’aller bien, moi j’étais normale comme on mange des fèves : j’étais la reine à chaque bouchée. Mais éprise d’accomplissement, je souffrais de mensonge. D’un mensonge qui me susurrait : « ton cœur est malade, sois heureuse, tu ne le peux pas, occupe-toi du bonheur des autres, tu ne le peux pas non plus d’ailleurs c’est de ta faute, tu pues l’égoïsme, un jour tu comprendras mais là c’est pire que tout. » Mon Soleil criait. Mais personne n’avait pour moi son adresse. Les chuchotements terribles de l’idéal sans paradis étaient plus forts que les jeux de l’herbe avec la Lumière, ni moi ni mon Soleil ne comprenions cette violence.

            Blaise était mon amant. Il écrit. Il s’est fait des amis, il connait mon grand-père. Mais je ne connais pas son paradis. Ça peut paraître enfantin, mais je reste persuadée qu’il a son paradis, qu’il s’est forgé son royaume, comme chacun prépare sa vie d’après, qu’il le veuille ou non.

            Blaise le chat.

Blaise Argentin était le plus beau des hommes et il est le plus beau des souvenirs.

            Un aigle évident. Un autre homme, une plaie aux yeux bleus. Noir, blanc.

Une voix, peu importe. C’était déjà foutu.

 

            A l’heure où les rosiers grimpants du balcon de mon futur appartement se portent à merveille, je pense à devenir végétarienne.

Maxence est apolitique. Blaise Argentin promène son âne, qu’est-ce qu’on s’emmerde. Mais soudain la déesse, oh. Une émotion de fraîcheur, quelque chose d’inespéré, je sors de mon lit. Dehors, la fête bat son plein. Et les ennemis rôdent, et la muse te sermonne : ne t’en vas pas vers les ronces et les mauvais jugements.

            Deux femmes merveilleuses, quelle chance alors.

Maxence médite. Maxence m’emmerde, Maxence aime les femmes. Il boit à une fontaine de l’eau douce et se rafraîchit le visage. Puis la nuque. Il a tatoué le nom de sa chienne, « Munster », sur la poitrine. La douleur s’était envolée du souvenir. Depuis quelques temps, cela faisait deux fois moins mal, en tout. Maxence prie de temps en temps, pour un oui ou pour un non, parfois pour que Blaise fasse la vaisselle. Eh ben des fois, ça marche.

            Blaise Argentin est loin de tout cela. Il vit. Accompagné d’un bouzouki, il chante ce qui lui passe par la tête, parfois en anglais, en allemand, en italien, en grec, et puis il écrit d’étranges chansons qu’il apprend par cœur, du style : « Yyougoudni tala boumia sapossouéniou boswa » etc. Il dit qu’il se sent libre, en chantant ces mystérieux babillages. C’est très difficile à mémoriser.

            Je n’ai jamais su au juste si ses « mots » avaient un sens pour lui. J’aimerais penser que oui.

Il peignait, il dansait, son corps svelte, agile et brun en faisait un bon sportif admiré et jalousé. Il en a connu quelques misères. Ses yeux de fauve enflammaient les sourires les plus timides.

            Moi j’ai détourné du regard mon aventure éventuelle. Trop tard, bienvenue à tôt. Quand les femmes venaient à Champagne, elles chantaient avec des marins. Et que ça montait sur les tables, et que ça picolait, et que ça riait et que ça bouffait et que ça pleurait… L’ennemi du chapognambais, c’était l’excès. Il était terrible. Des épaules larges comme des bateaux, une taille à n’en plus finir, un sourire carnassier, un casque ridicule et des mollets dont on aurait cru qu’ils eurent été taillés dans de la pierre. Habillé, peut-être, d’une sorte de soutane noire, ou d’une sorte de robe, de tunique enfin un truc quoi, et il tenait à son poing gauche une énorme masse, il faisait trembler tous ceux qui, par mégarde, s’étaient éloignés du Soleil Italien.

            Maxence n’aime pas le cannabis. Il se gratte négligemment la corne des pieds au petit jour, dans la tente jaunâtre où somnole encore Blaise Argentin. Le réveil est décevant, le rêve érotique s’est révélé totalement inefficace, et Blaise se retourne dans son drap de coton. Après s’être consciencieusement lavé les pognes, Maxence fait chauffer un café. Ne me demandez pas comment ils font le café je n’en sais rien.

 

            Au loin, à des dizaines de kilomètres se promène l’excès. Les vents et les sables ne viendront jamais à bout de ce chêne à la souplesse décourageante d’un roseau. Le ciel affiche son bleu imperturbable. Les cœurs tendres n’avaient qu’à se muscler.

           

           

 

 

 

En prendre et en laisser

Le 23/08/2016

En prendre, et en laisser.

En prendre, et en laisser

Je n’ai retenu pour vendre

Qu’un papier chiffonné

Qui parlait de prendre et de laisser

Je n’ai appris d’aimer

Que de l’or j’avais à rendre

Mathématiques de l’Eternel pionnier

Rien n’est gravé sur ma peau

D’autre que douceurs à flots

Caressé mon dos, frissons de tous les jours

Le plus beau rencontre le plus lourd

Où le sensible devient enfin sourd

Cadences d’un cœur volontaire

Qui s’efface devant le moindre cri de verre

Devant le moindre cri de Terre

Qu’as-tu fait pour la satisfaire ?

Mais de jeux hypnotiques mes humeurs sont lassées

En prendre, et en laisser.

En prendre, et en laisser.

Je n’entame rien qui ne soit de trop

Je n’ajoute rien à ce qui est fait

Je ne travaille que jusqu’au Verbe d’or

Jusqu’au repos parfaitement mérité

Mais comment partager une certitude alors

Qui est de prendre, et d’en laisser

Quand chacun sur sa route, sème les doutes

Dans la terre noire et sèche des amours délaissés ?

 

Le dégoût du fruit trop mûr

Attaque le soleil gourmand et naïf des âmes qui s’étonnent

La déception est la chose la plus vulgaire

Vulgaire en face, debout, insolent, épineux

Défaire les cordages, défaire les courages

Ces courages qui naissent pour nommer le mal

Puis perdre ce rôle, à parts égales

Le monde n’est pas plus fou qu’un jour ou l’autre

Mais il est triste

L’œuvre du temps, des Dieux, la prière

L’union d’avec nos sœurs et nos frères

Elle aussi doit être entamée

Mon Dieu ! en prendre, et en laisser.

 

Je cherche l’endroit tranquille et ombragé

Où pêcher, romantique, attendant l’été

Que les astres décident d’une mélancolie

Qui m’affecterait plus ou moins aujourd’hui

 

Le salut salué, mes pas se perdent aux empreintes éternelles

Je n’ai pas peur de l’immensité du monde

Je suis chez moi, je sais que dehors il gronde.

Je n’ai pas peur de la souffrance, puisqu’elle n’est pas encore là

Je ne danse pas sans musique

 

Comment entrer dans le vif du sujet si le sujet n’est pas vif ?

Chaque chose en son temps.

 

Je subis le temps pour le dire. Je dois savoir ce que je subis pour écrire. Je dois savoir qui je peux aider, je dois savoir que je n’aiderai pas tout le monde.

 

Je me sens écrasée. Je ne peux pas peindre. Je me sens enfermée. Je peux à peine sortir. La méditation du peintre est toute particulière. On s’accroche à quelque chose qui parait complètement stérile, on y revient, on se décourage, on se trouve régulièrement nul, mais il y a des surprises, et des bonnes. « De la vie accélérée », avait dit quelqu’un de malin. Mais écrire ne supplante pas de peindre. J’aimerais bien mais je ne crois pas.

 

De la peinture, en prendre et en laisser. Surtout quand on ne peut rien à la situation. Evidemment. Quelle horreur.

Du bonheur, en prendre et en laisser ?

 

 

 

 

J'ai faim.

Le 22/08/2016

JE VEUX DES BANANES PLANTIN
 

 

Hors sujet

Le 17/08/2016

Quand je dis que la morale est universelle face à la souffrance, je veux surtout parler de la frustration. C’est toujours une tarte à la crème : nous pensons qu’en évitant certains aspects d’un désagrément, nous serons tranquilles. C’est mon cas aussi, à vrai dire. En ce moment je suis en proie à des soucis que j’estime trop peu supportables, bien que je ne me sente pas malheureuse pour autant. J’ai des projets, je passe du bon temps, une grande partie de la souffrance que j’éprouvais jusqu’à il y a peu de temps s’est envolée. Je voudrais pourtant être « encore plus heureuse ». Normal. Et j’essaie de pardonner et d’aborder ceux qui m’emmerdent avec simplicité, rien n’y fait. J’ai besoin de fuir.

Mais est-ce que fuir une fois, ce n’est pas fuir pour toujours ? Est-ce que je ne devrais pas essayer de trouver un terrain d’entente, d’arranger les choses ? Est-ce que je ne devrais pas plutôt connaître mes ennemis au lieu de me plaindre d’eux ? Juste m’en tenir à ce dont ils sont capables en bien comme en mal vis-à-vis de moi ? Ils ont forcément des richesses qu’ils ne partagent pas avec moi en ce moment, je devrais chercher une solution pour dégeler les énergies, au lieu de les maudire pour leur affreuse et énorme connerie. J’ai moi aussi ma forme de connerie, sinon il n’y aurait pas de conflit. Le diamètre sépare et unit les moitiés du cercle à la fois. J’ai retenu une expression de Cyrulnik : « donner des occasions de donner. » Quand bien même il serait question d’une victoire narcissique, elle resterait saine et souhaitable. Mais alors, il y a du boulot. Ou pas.

Je me vois mal leur offrir des chocolats… Rester simple, leur parler tranquillement, peut-être leur écrire… Mais bon Dieu c’est toute une éducation à refaire ! Partir sans fuir, peut-être. Ecrire une gentille lettre d’adieux. En appeler à leur conscience déiste… Chaque chose en son temps. Oui donc la morale : je souffre de l’image que j’ai de moi-même quand je suis haineuse. Parce que TOUT LE MONDE SAIT que la haine, c’est mal. Et les plus haineux sont les premiers à le savoir. Je le sais, je l’ai été, haineuse. Ah merde je le suis. Ensuite je souffre parce que je sais que subir la haine d’autrui est difficile, donc que je suis encore en faute. Parce que je fais subir mes sentiments grossiers et qu’en plus je les entretiens. Et tout le temps perdu à entretenir ces sentiments, je souffre d’ajouter à ces conflits, d’anciens conflits dont je ne me rappelle plus forcément, mais qui ressurgissent en exclamations, injures, mauvaise foi, méchanceté. Alors qu’ils auraient très bien pu être soignés par la prière ou la création.

 

Donc la morale… Je n’ai pas peur de l’immensité du monde. Parce que nous sommes liés au combat incessant contre la souffrance. Parce que nous allons vers la Lumière par désir, et que nous la quittons par étrangeté. Et seulement par étrangeté. Quand je m’évertue à détester quelqu’un de moins armé que moi sur le plan linguistique et rhétorique, je crée de la souffrance avec une force que je pourrais utiliser de façon tout autre. Je crée de la souffrance facile, comme on joue aux jeux d’argent. Je suis sûre que je le paye. Je ne saurais pas dire comment, à vrai dire je ne sais pas du tout, mais il doit y avoir des miroirs karmiques, des malentendus, du stress, des distractions énervantes que je ne m’infligerais pas si j’avais balayé devant ma porte.

Et balayer devant sa porte, je crois que je suis en train de le faire, après il faut tenir, mais tenir c’est aussi peindre, dialoguer, vivre tous ces moments de « vie accélérée ».  Et du sport. Ma littérature ne conviendrait pas, peut-être, à tous. Ça n’est pas mon objectif. J’écris pour me purifier ou, en tous cas, dégeler certaines parties de mon cœur. Et pour cela j’ai besoin d’être comprise par d’autres. Simplement, d’autres, mais bien. Peu importe le nombre. Ce qui me choque chez les autres, c’est de ne pas trouver des choses chez eux qui m’en rapprochent, c’est de trouver, malheureusement, de « bonnes raisons » de m’en éloigner : mauvaise réputation, langage trop différent, absences de sourires, déceptions d’un regard, absurdités régulières d’un autoritarisme enkysté. J’ai vraiment du mal.

Mais ce qui est certain, c’est que lui, là, que je ne nommerais pas parce que bonjour les histoires, il souffre aussi de cette relation de merde. Je devrais prendre appui là-dessus. Cela doit être possible. Sinon à quoi bon écrire ?

J’espère avoir été claire par rapport à ma phrase initiale, le hors sujet c’est un peu ma spécialité. Mais prendre le temps de dénouer les fils de la souffrance et étouffer les fiertés qui les enflamment, je devrais le faire plus souvent. Ça fait du bien. J’y vois plus clair. Ah.

 J’avoue, j’avoue que je voudrais AUSSI parler à mes ennemis de tous bords, pour qu’ils s’en prennent plein la poire. Pour qu’ils aient envie de rigoler avec moi. Pour qu’on dégèle nos cœurs. Pour qu’on oublie, et qu’on boive un coup sans se demander si la fête se terminera mal. Pour les autres, pour l’absence de dégâts.

Pour que je sois plus simple.

Bon ceci dit je n’y arrive toujours pas. Une nuit est passée, nuit difficile mais bon réveil. Cauchemar horrible, mais qui se terminait bien.

La souffrance doit être vue comme un point de repère. On dit que les voleurs voient des voleurs partout… Moi je vois des cons. Partout. Pas tout le temps, Dieu merci, mais partout. Ils sont là pour me parler de lâcher-prise et de simplicité. Ils sont là pour que j’abdique. Pour que j’abandonne, que je mette un terme à mes ambitions et pour que je revoie mon langage, pour que je prenne en compte la misère éternelle. Et pour apprécier les petits plaisirs. Parler de la météo, sourire d’une blague idiote voire raciste, perdre aux échecs… Entretenir la foi du charbonnier, danser la Macarena. Et être gourmand, ne pas craindre le comique de répétition. Admirer chez certains quelques traces de la naïveté enfantine. La poésie de ne pas savoir, les anges qui passent, passent, passent…

Loin de la déréliction et des aléas de la création, les cons invitent à la fermer et à attendre. Attendre que ça passe, qu’ils aient fini de marquer leur territoire, et leur trouver du charme. Parce que sinon c’est la guerre. Et ils sont très forts, à la guerre. Alors cueillons l’absurdité comme un cadeau précieux au lieu de finir par tout faire dégénérer à force d’encaisser. Voilà. J’ai trouvé. Madame, Monsieur, vous faites un excellent thérapeute.

Peins ce que tu sais. Commence par tes certitudes, tu voyageras plus tard. Si je veux pardonner, je dois savoir où j’en suis. D’où vient le problème ? Qu’ajouter à l’immaculé brouillon ? Si je n’aime pas encore c’est que je n’ai rien trouvé d’aimable, il ne sert à rien de parler comme si le pardon était déjà gagné. Je n’ai pas peur de perdre mes certitudes, mais j’y tiens autant qu’à ma santé. Pour les entretenir, il faut témoigner. Les chaleurs, les piqûres, la tiédeur. Tout est bon à être transformé. Je sais qu’un sourire ressemble à peu près à ça. Très bien, ça suffit. Je trouve que certaines parties sont trop vides. Très bien, ajoute. S’il faut du compliqué, fais du complexe. Invente un langage, des signes, des aurores. Si tu veux faire du subtil, fais par petites touches. Tu peux toujours revenir au blanc, au noir. Et que ta certitude ne te concerne que toi. Si tu es habité, que cela soit par ton histoire, pas par une idée intruse et extérieure. Ce serait mentir. Attrape au vol. Et voyage.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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