loupiote
Poème
Le 04/09/2019
(Extrait d’une chanson) Le chemin
Sur le chemin, plus avancés que le permet le même chemin
Le temps de faire le tour
Patiemment, c’est l’Amour
Le fils du rocher
Attend, le visage ombragé
La peur d’être fouetté aux joues par le vent
Pourrait l’aveugler de tout mouvement.
Et c’est ainsi, jalousant le premier venu, qu’on fait taire son cœur
Pourtant ingénu
Je ne connais pas mon voyage intérieur, mais je connais par cœur la magie de mes rires
Je n’ai pas d’empire et respire les horreurs
De celles qui étranglent les cris par un leurre. Miser sur les cartes prochaines est vain, nous enchaîne. Si quelqu’un doit trinquer ce sera moi, et je ne souhaite personne dans mes pas.
Il est magnifique d’être en haut du chêne, tant que ne s’immisce pas la gêne
Et que l’idée de fouler le sol
Devienne une affaire de parole
Se voir perché, magnifique. Le rester, problématique.
Le vertige peut prendre n’importe quand. Au point qu’il soit justifié.
Je ne me bats plus contre la fumée, et fantômes et farfadets ont pris le chemin tout tracé
De l’extérieur à mon estime et à mon malheur.
La tentation d’Oscar est chevillée à mon désir, et je plonge dans les lagons pour qu’à la surface on respire.
Ma dépendance est celle de mes erreurs, le chemin de Sisyphe est mille fois prometteur.
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Le muscle
Le 04/09/2019
Le muscle, c’est la volonté. Avant d’exister, on ne le sent pas vraiment. Avant qu’il ne m’apporte satisfaction, j’échoue mille fois avec, l’effort durant, plus ou moins de plaisir. Ce n’est pas seulement ce à quoi on peut penser. Le muscle, c’est la bite de Freud, oui madame. Le muscle, c’est la mémoire que je ne sollicite pas assez, ce qui est un bon début. Le muscle, c’est le bonheur, oui Monsieur. Le muscle, c’est la bonté, c’est l’Esprit, la liberté d’expression, la liberté spirituelle. C’est l’imaginaire. Le muscle s’oppose au mal. Le muscle ne doit pas être violenté, il risque de souffrir. La routine même peut être absorbée par le muscle de l’amitié, qui est terriblement précieux. L’exercice d’aimer est le plus délicat. On se surprend à créer après saturation, et croire est l’entraînement qui peut, à la rigueur, justifier qu’on prie ce qu’on ne connait pas et en faire tout un plat. Mais le muscle n’étrangle pas. Le muscle n’appuie pas sur la gâchette, le muscle n’active pas l’arme et n’enclenche pas les machines à tuer. Parce qu’à la gouverne, c’est une disposition d’esprit qui donne le « la », et qui fait s’étioler toute la belle machine, faite pour créer et transmette, la santé chevillée au cœur. C’est l’abîme qui fait agir la faiblesse, un désir magique, dans le sens « infantile », inefficace et nuisible pour la planète. C’est un refus ; terriblement égoïste, et à la fois un coup d’épée dans l’eau aveu d’échec quant au pourquoi de l’existence.
Le muscle est celui du beau félin qu’on assassine. Le muscle est celui des victimes à qui on en enlève le droit. IL mérite considération (Oooooh !) mais ne doit pas être abandonné par les plus responsables d’entre nous, sous prétexte de chagrin solitaire. L’inspiration est un muscle. Certains en ont diablement peur, de celui-là. La terre ne s’est pas arrêtée de tourner après Mozart. Foutus complexes.
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Histoires 2
Le 28/04/2019
Enfin. Si vocation il y a... Musique. Elle a dit un truc marrant, excusez-la mais elle n'en revient pas. Tranquille le chat, elle chantait avec sa copine. "Marcia Baila" vous savez, les Rita : "Et c'est la mort qui t'a assassiné Marcia, c'est la mort, qui t'a enculéééééééé, ohoooo !"
Avouez qu'elle est bonne. Après c'est une question de lâcher prise, pour passer à autre chose et relancer le désir et son exécution. Les montagnes montent et les stalactites tombent. Un, deux. Deux, un. Zéro, ça ne m'a jamais réussi, les maths. Je nage. Au milieu. Je pense au mécontentement de Krisnamurti, c'est drôle. Ca accompagne. Parce qu'on reste des prédateurs, c'est logique. Il suffit juste de savoir de quoi on est prédateurs, et ça fait suite. Evidemment on ne se demande pas de "qui", sinon ce serait faire parler notre animalité de façon grossière, complètement total hors-politique, bestial. Mon mécontentement s'adresse à la solitude. Si j'ai un objectif, c'est celui de l'amitié. Quand j'ai un souci, j'essaie d'aller dans le sens de l'amitié parce que je sais que c'est pour moi la chose la plus utile au monde. J'ai ça profondément ancré en moi, même si mes amis sont peu nombreux et récents. J'ai vécu avec peu d'amis. Mais ce sont des gens qui m'ont profondément marquée. Je retrouve l'amitié dans les arts, avec beaucoup d'authenticité.
C'est très important ça : aligner son comportement vers une réaction politique. On ne se bat pas contre des gens, qui peuvent changer du jour au lendemain, mais à des idées enracinées là où elles gênent la circulation des bonnes énergies. Certes, il existe de gros cons sacrément solides, et dans ces cas-là il faut les considérer comme des personnes malades. Il faut s'attaquer à leurs maladies, quoi. Ce sont des gens qui manquent, en général, d'humour, de jeu, de divertissement, de sexe, de tendresse, de reconnaissance... Parfois d'admiration, parfois d'un bon coup de pied au cul, parfois d'une transformation de fond en comble.
J'en ai assez. Je dois me mettre au végétarisme, j'y verrai plus clair. Ouais, demain.
Ah oui elle a dit une autre connerie, donc elle est très fière :
"Je dis "aime", comme un emblème, le coiffeur je le jette." Voilà, elle est en pleine créativité, en mode musique, elle apprend des nouveaux textes elle est heureuse. Viva la polka.
Univers bouclé par l'imaginaire, images, couleurs, les six sens en éveil, à la surface de l'eau on en apprend tous les jours, ça tombe bien on oublie. Ah ! Le stress. Le stress qui est une réaction électrique, un truc logique, c'est comme ça et pas autrement. J'ai oublié mon pare-buffle. Je suis dans la merde, j'ai oublié de faire le feu je vais me faire castagner par mon homme. Vieux réflexes. On a pas fini de commencer à se civiliser, Néandertal est où ? Taléou !
Du rêve, on veut du rêve, c'est la matière de la tendresse, c'est nous le rêve. Le rêve éveillé, l'unique. On a besoin de ça. On a besoin de boire, de se marrer. Philatélie.
Couscous. Yaaaaa... Le surréalisme sera le siècle de sera ne oui. J'ai envie de manger des pralines, mais c'est mauvais pour les dents, tu le sens tout de suite. C'est vrai que c'est quand même bon. Elle se met à perdre le contrôle la pauvre, elle sait plus ce qu'elle dit, qui parle, les démons de minuit.
Alors ici gros doute : je ne sais pas comment je vais faire pour enregistrer ce texte sur mon blog. Bouhouhou. Il faudra que je réécrive tout. Problème matériel. Ce n'est pas grave on s'éclate. Et on se rassemble, il a dit le vieux. Je ne sais pas ce que j'ai avec les grands chefs indiens. Je serais quand même sortie avec toutes sortes de gens moi. Je vais faire un guide Michelin. Hi, hi.
Elle a acheté un très beau porte clé à 12 balles. Et voilà ça le fait.
Bon, c'est tout ce qu'elle raconte ?
Allez laisse tomber.
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Début
Le 26/04/2019
Je commence à en avoir assez des gens qui se leurrent sur mon cas à cause de ce que je dis dans tel ou tel contexte. Je sais c'est facile à dire mais c'est aussi facile de se tromper à mon endroit, pour tout un tas de choses.
Donc non je ne suis pas raciste, je suis même plutôt tolérante et je m'interroge régulièrement quant à mon rapport aux autres.
Une bulle, une bulle. Quoi ? Sur leur table basse il y a des photos de dauphins sous coke avec des militaires valeureux, c'est sensé nous dire "bonjour". Bleu électrique. Tout doucement, les bulles. Elle n'arrive toujours pas à lire, c'est toujours trop ou pas assez, il n'y a pas la mesure qu'elle cherche, mais malgré tout. Malgré tout elle a compris comment procédait la paresse. Donc elle explique.Une fatigue physique, une jeune confusion tenace, dues au fantasme de difficulté. Exemple : tout à l'heure, je ne me laissais pas vouloir peindre, parce que j'avais terriblement envie de réaliser mon "sous bois" en grand format. Mais seulement, j'ai toujours coincé dans ma tête qu'on ne fait pas deux fois la même oeuvre, et que j'allais certainement être déçue du résultat, et qu'ainsi j'allais travailler de façon pénible pour rien. Mais quand j'ai laissé cette idée apparaître en moi, j'ai pu corriger le tir et me dire que je pouvais faire avec, tout simplement. C'est vrai que j'ai demandé à l'au-delà d'arrêter de me bombarder de crises d'angoisse et de me dire ce qu'il n'y allait pas en toute simplicité. Il faut croire que cdela se met en place. Ceci dit, je n'ai pas pu aller peindre parce que j'étais déjà quasiment sur place et que j'avais oublié mon matériel chez moi. Bon. Donc j'ai bossé une chanson et j'ai mis quelques temps encore à me bouger les fesses parce qu'il existe plusieurs façons de l'interpréter et que j'avais peur de me planter. Quand j'ai appris la nouvelle, j'ai opté pour la version la plus simple.
N'ayons pas peur de prier pour des choses dont on a l'impression qu'elles sont hors du possible ou du probable
J'ai aussi appris à me libérer des petites angoisses, vous savez, les petites mesquineries du monde que l'on ignore encore, qui prennent l'importance de tout ce qui pourrait nous faire du mal. Et en réalité ce ne sont que des émotions. Dont on décide qu'elles ne dureront pas. Pas de ça chez moi hihi, enfin ce n'est pas la couleur que je rejette, mais la peur, de qui que ce soit.
Les canards se font bouffer leurs oeufs par des oiseaux de lac dont j'ai perdu le nom. Je sais qu'il existe des documentaires sur la viande et comment elle est traitée avant qu'elle arrive dans nos assiettes, et que ces documents rendent végétarien. Je ne vais pas les regarder tout de suite parce que c'est trop contraignant.
Euh...
Bon j'y penserai, j'en parlerai à mon cheval, j'en parlerai à tous ceux concernés. Ce n'est pas un drame si tous mes soucis ne prennent pas fin aujourd'hui.
Je commence à en avoir assez de ces histoires de karma. C'est bien gentil mais l'infini ça lasse.
Ici delirium tremens.
Le lapin de Pâques était en agneau, l'agneau était cuit au buisson ardent, la vierge était franchement sulfureuse, Joseph n'avait aucun goût. 'était un Best Seller. Une fois sorti de sa tanière, le Petit Prince a disposé les couverts en quinconce, ce qui créa du concave, magnifique. Tout le monde est venu à la fête, on était habillés dans des couleurs pastelles au milieu d'une steppe brune et constellée de pierres brûlées. On dansait assez mal mais on était enthousiastes, les épaules ne bougeaient pas assez. Donc on a terminé la journée au lassi. Lassi à la mangue, lassi salé, lassi à la menthe, lassi à la rose ah qu'est-ce que c'est bon ça. J'ai froid.Au dessert j'ai évité de manger de la pintade, pour nos amies les bêtes. Le lama réincarné sentait le fauve, on l'a grillé. Le pauvre. Ca n'a pas résolu la question : quid de la bulle ? Non mais sérieux ? On ne peut pas avancer sans un vrai dialogue, moi je veux bien faire de la provoc mais il faudrait qu'on me réponde distinctement. J'ai horreur du one man show. Ah ! Le talent ! Partout tout-le-temps, le talent expressif des choses sensées.
Le voile de la mariée a pris feu au niveau du genou. Moule frite. Hm; bon, et la loi de cause à effet dans l'inspiration de l'instant cueilli devant tout le monde parce qu'on ne peut pas faire autrement il faut s'ennuyer oui madame.
Chercher, trouver. Et un et deux. Noué dénoué. Glacé fondu. Noir et blanc. Manger, manger. Bouhouhou j'ai faim en plus il y a des rillettes de poulet je crois...
Oui c'est ça. Dans trois quarts d'heure on mange. Excusez moi je suis désolée, ce n'est pas une question de mauvaise volonté mais quand j'ai faim chez moi le temps s'arrête. Ce n'est pas drôle. Ce n'est pas une tragédie non plus, ce sont les aléas de la vie, oh elle est belle la vie. Oh sincèrement.
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Je dois me mettre au régime
Le 16/04/2019
Contrairement à beaucoup de gens, j’ai quand même compris que mes délires n’étaient pas des ordres. Je DOIS délirer positivement, parce que sinon ça me retombe dessus, mes énergies s’emmêlent et je me mets à souffrir. Il faut que ça sorte. Ce que je dis sur l’actualité en général ne représente que ce qui me passe par la tête, et ce ne sont que les mauvaises interprétations qui sont dangereuses, ou non. Si on y trouve de quoi se divertir, si on rejoint mes questionnements, c’est le but et pour moi c’est parfait. Si les gens sont choqués, je pense qu’il est des banalités au quotidien qui mériteraient bien plus d’indignation que mes idioties irrévérencieuses, tout au plus. Tiens je vais manger une poire.
Pas bonne la poire. Affreuse.
Bah.
Je ne dis pas ça pour faire genre, ce serait surfait : la poire était immonde, vraiment. Après ce n’est pas d’un intérêt national, j’en conviens. Mais parfois la vérité siège dans la légèreté : l’intensité ne fait pas gage d’authenticité. Voilà comment on fait respirer un texte, et qu’on donne le « la » là.
J’ai froid je vais prendre un pullover. J’adore ce pull. 18 euros dans une friperie parisienne. Tout chaud. Il me couvre les poignets. Et il a un col roulé. Il est vraiment chouette. Pourquoi on ne dit pas « il est hibou » ? Parce que, à la limite, « chouette », ça a autant de rapport avec la choucroute, on pourrait dire « choucroute » eh c’est fait hein. Enfin moi je l’ai dit. Tous ensemble : « chou, croute ». Ah j’avais jamais fait gaffe ! Le chou et la croute. Mais y’a pas de croûte dans la choucroute. Ouh c’est compliqué. On va parler d’autre chose, en plus j’essaie terriblement de ne pas me jeter sur un muffin depuis trois ou quatre heures, entre les verres d’eau, les morceaux de carotte et la poire je n’en mène pas large c’est moi qui vous le dis. J’ai une dalle…
Donc oui c’était pour ne pas parler de choucroute, ni de chou ni de croute ni de muffins et encore moins de poire.
Ce qui nous laisse un champ lexical assez vaste.
Pour le moins.
Ce qui est présent, c’est un gramme d’aspartam qui vous reste sur le bout de la langue, on a envie de bouffer sa propre langue tellement c’est horrible de savoir le muffin sécher tout seul alors qu’il pourrait tout-à-fait mourir sur le front euh l’estomac. Bouhouhou.
Ou alors
Ou alors c’est l’histoire d’un prince beau de face et de profil et de trois quarts de chaque… Enfin qui est beau quoi, et alors il s’ELANCE, dans la brume d’un samedi soir alcoolisé sur une moquette compatissante. Il n’a pas sorti les chiens oh madone pardonne déconne
Macarena. Tous comme des cons mais ensemble au soleil, c’est ça Jean-Jacques, une religion laïque. Pauvre Jean-Jacques. Ici projection. T’as pas l’air con hein maintenant, toutes ces années sur ton crâne affadi, toutes les thunes de la Terre et plus un gramme de Rock’n’roll.
Café ?
Putain il a vomi ! Ah l’infâme ! Tout le monde abhorre à bas bord. Ce n’est rien ça va passer.
Je voudrais peindre un tableau… Un-oh, Comment il s’appelait déjà ? Nick. Oh, Nick. L’Irlandais, oh je l’ai aimé Nick. Avec ses tâches de rousseur et son sourire charmeur, ah… Ah oui je dois le peindre. Ah oh la vache ça fait longtemps, oh, mais qu’est-ce que… ouaah… ah Nick, ouais, mmh, non je suis pas dispo, nan tu comprends j’ai pas le droit, je peux pas non vraiment, vraiment j’ai que le doigt. Crmpf… Ici tragédie.
Pouh j’ai envie de fumer ma parole. Moi, frustrée ? Mho non, vous pensez. Moi aussi je pense, enfin je fais acte de penser, pas de confiture. Je ne sais plus où j’en suis j’en ai maaarre, je vais écouter de la musique.
Mais quoi ?
Four Sticks, Led Zep. Version Page’n’Plant, en 98. Oooh yeah.
Je ne m’en lasse pas. 20 ans que j’écoute ça. Le kiff… J’aime les violons, la voix éraillée, le génie des musiciens. Et c’était une super idée de mélanger le blues aux musiques orientales. Je ne sais pas ce qu’ils en penseraient, mais je suis sûre qu’ils ont quelque chose à cueillir en Inde. En fait ils pourraient faire le tour du monde, ces mecs. Pourquoi pas ? Mozart l’égyptien ça avait bien marché aussi, évidemment il y a eu « Bach to Africa » c’était très chouette. Légèrement hibou, hou, hou.
Le métissage, c’est sage. C’est tisser les âges, ah j’ai message : mais si Messi scie six citrons, dites ça très vite. C’est si con…
Conciliabule. En bande dessinée : en con s’il y a bulle. Ça m’a traumatisée. Pauvre enfant que je fus. Ah tout de suite la tragédie, oui mais non, le passé a une fonction : passer.
Ha ! eh bravo hein celle-là elle l’a trouvée toute seule hein chapeau.
J’ai faim ça se ressent tout de suite, je vous promets que je vais écrire un truc construit mais il faut d’abord que je me sustente. Pardon pour la gêne occasionnée.
Il y a eu un jour miraculeux dans ma vie de petite fille. C’était assez simple comme recette : il faisait chaud, on faisait du rafting entre familles et amis. Quels amis et qui de ma famille, je ne sais plus, mais il y avait cette eau douce, ces jeux et nos rires évidents. Ce jour, rien ne pourra me l’enlever. La verdure, ça parait simple, oui, et alors ? Tout était prétexte à sourire, à partager : nous étions fous. C’est comme si j’avais commencé à vivre à ce moment-là, ou que ma naissance réelle était ce jour. Par magie, comme ça : neuf mois dans ma mère, et plouf dans le bateau. Avec des personnes exquises. Alors, il faut bien commencer par rêver.
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